Le phare des sirènes
EAN13
9782278057184
ISBN
978-2-278-05718-4
Éditeur
Didier Jeunesse
Date de publication
Collection
Hors collection
Nombre de pages
64
Dimensions
36 x 27 cm
Poids
870 g
Code dewey
804
Fiches UNIMARC
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Le phare des sirènes

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Illustrations de

Didier Jeunesse

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Une magnifique histoire d’amour, poignante, sur fond de guerre. Un beau livre aux illustrations somptueuses, à offrir aux plus grands ! Ange vit avec son oncle, pêcheur de harengs, heureux et libre. Mais ce dernier disparaît en mer un soir de tempête. Alors qu’il scrute l’horizon, espérant retrouver celui qui l'a tant choyé, Ange aperçoit une main qui sort de l’océan. C’est celui d’une délicate sirène gisant sur le sable. Il la soigne, veille sur elle et bientôt naissent entre eux des sentiments profonds qui viennent rompre la solitude du jeune garçon. Une fois guérie, la jeune Swidja retourne à la mer. Chaque jour, fidèle à sa promesse, elle vient à la rencontre d’Ange et lui fait découvrir les secrets des profondeurs. Leur bonheur est complet jusqu’au jour où la guerre éclate, le jeune homme est enrôlé et envoyé au front. Lorsqu’il rentre de guerre, « la gueule cassée », il devient gardien de phare, pour mieux attendre sa belle. « Je suis gardien de phare et j’éclaire la nuit des hommes…». Tout est dit. Rascal signe avec le Phare des sirènes un récit d’une grande sensibilité qui émeut, qui heurte aussi. En une véritable symphonie sont invoqués ici l’océan, la solitude, la découverte de l’amour, la perte, la violence de la guerre et des hommes et l’espoir, aussi vivace que le flux des marées… Son partenaire, Régis Lejonc prend un parti pris graphique audacieux. Il propose en vis à vis, des illustrations plein pot qui surprennent le lecteur par la force, parfois la violence, qui s’en dégage. L’album s’organise autour de deux parties, l’une émouvante qui retrace les années heureuses avec son oncle puis la sirène, l’autre plus sombre qui projette le héros en pleine guerre. Dans ces tableaux expressionnistes ou intimistes, au trait haché ou finement ciselé, les couleurs flamboient, ainsi que des lanternes magiques, elles « éclairent la nuit des hommes », tandis que le gardien de phare n’a de cesse de dessiner celle qu’il aime. Et l’on comprend au travers ces images superbes, que l’art est salvateur, oh combien !
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