J'ai bien connu le général, commentés par le professeur Henri Broverman
EAN13
9782221099582
ISBN
978-2-221-09958-2
Éditeur
Robert Laffont
Date de publication
Nombre de pages
256
Dimensions
22 x 13,7 x 2,3 cm
Poids
323 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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J'ai bien connu le général

commentés par le professeur Henri Broverman

De

Robert Laffont

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Z. fut le seul ami intime du grand Charles. Il relate dans ce roman surprenant les coulisses des grands et petits événements qui ont marqué la carrière du Général...
Le 12 janvier 1982, un clochard tombe sous les roues de la voiture conduite par Henri Broverman et décède à l'hôpital. Avant de mourir, il confie à Broverman les clefs d'une consigne de la gare de Perrache, à Lyon. À l'intérieur du casier, Broverman trouve une grande quantité de carnets. Il ouvre le premier et commence à lire. Cinq heures plus tard, il est toujours debout et termine le dernier. Professeur d'histoire contemporaine, Henri Broverman annote et corrige les cahiers avant de les livrer au lecteur.L'auteur des cahiers, le conseiller Z., sur lequel nous avons peu d'informations, fut un intime du général de Gaulle. Leur amitié commence dans la boue et le sang des tranchées de la guerre de 14-18, quand le jeune soldat Z. sauve la vie d'un lieutenant fraîchement débarqué sur le champ de bataille, le lieutenant de Gaulle. Désormais, entre ces deux-là, et malgré la différence de classe sociale, c'est tutoiement de rigueur et à la vie à la mort. Z. devient le "conseiller" Z. – l'ombre du Général. Bourré d'affection pour Mongénéral, le connaissant sur le bout des doigts, ayant été présent dans l'intimité et l'ayant assisté dans les grandes décisions, Z. révèle l'inconcevable sur Mongénéral: l'homme derrière la légende. Saviez-vous que Mongénéral était un fan d'Iggy Pop? L'imaginiez-vous visionnaire au point d'anticiper la révolution des micro-ordinateurs et des téléphones portables? Pensiez-vous que si le traité franco-soviétique de 1944 a été aussi avantageux pour les Russes c'est parce que Mongénéral abusa de la vodka et dansa toute la nuit sur la table en compagnie d'un jeune loup du Parti nommé Khrouchtchev? Que son maître à penser était Tintin ou qu'il avait posé pour les peintres de Montparnasse? Vérité ou affabulation? À vous de juger... Dans la grande tradition des véritables auteurs de comédie, tels Courteline, Labiche, Feydeau ou Aymé, l'insolence est ici un art d'écrire et le comique une réjouissante thérapie sociale.
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